Paillardise, désuétude, toute la peinture de Pier Brouet est là. Ses femmes girondes ont le sein lourd, les sarabandes de danseurs et troubadours masqués grotesque –et fort bien couillus– s’agitent aux balançoires de plein vent, les grandes tablées lubriques sont fortes de victuailles moyenâgeuses : à l’orée du bois c’est un joyeux foutoir champêtre.
Oui, le paillard, la malice et le grivois crépitent encore dans les yeux fatigués de Pier Brouet, derrière l’orgasme et la langue tirée de la femme en feu qu’il peint se caressant, le doigt rose enfoncé. Quel âge aujourd’hui ? quatre-vingts ? quatre-vingt-cinq ans ? un homme du passé, un lutin à demi oublié, un leprechaun diraient les vieux irlandais.Cliquer ici pour modifier.
Oui, le paillard, la malice et le grivois crépitent encore dans les yeux fatigués de Pier Brouet, derrière l’orgasme et la langue tirée de la femme en feu qu’il peint se caressant, le doigt rose enfoncé. Quel âge aujourd’hui ? quatre-vingts ? quatre-vingt-cinq ans ? un homme du passé, un lutin à demi oublié, un leprechaun diraient les vieux irlandais.Cliquer ici pour modifier.
© Tristan Jeanne-Valès - Pier Brouet - 2017