Gérard Berréby –qui d’abord porta le très biblique prénom Mardochée, puis, un temps, sous l’injonction toute française d’un état civil tatillon, celui de Marc– n’aime pas les éditeurs, ne les aimera jamais.
Il aime l’édition. Allia, pied de nez à l’urinoir made in France et clin d’oeil à Duchamp.
Il veut l’occurrence, la hauteur, les prémisses situationnistes, les miscellanées et les traces érudites du rouge à lèvres de Greil Marcus, Lipstick traces. Remarquable désuétude des chaînons manquants.
Il sait que la mode tue. Tue le rock, tue l’écrit, tue l’artisan et le savoir-faire, tue la mode même.
Gérard Berréby se vit en ultime descendant, fier, fier de ce qu’il fait.
Il est Mohican. Et poète, ombre ou lumière au visage. Sol y sombra.
Il aime l’édition. Allia, pied de nez à l’urinoir made in France et clin d’oeil à Duchamp.
Il veut l’occurrence, la hauteur, les prémisses situationnistes, les miscellanées et les traces érudites du rouge à lèvres de Greil Marcus, Lipstick traces. Remarquable désuétude des chaînons manquants.
Il sait que la mode tue. Tue le rock, tue l’écrit, tue l’artisan et le savoir-faire, tue la mode même.
Gérard Berréby se vit en ultime descendant, fier, fier de ce qu’il fait.
Il est Mohican. Et poète, ombre ou lumière au visage. Sol y sombra.